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P R E S S E

JOURNAL ALSACE du 26 mai 2012

Musique sacrée
Caroline Fest, chanteuse soliste, et Marc Weiss, organiste titulaire à l’église Saint-Barthélemy de Dornach, s’y sont récemment produits en concert. Le duo a proposé un programme de musique sacrée en interprétant des pièces de Ravel, de Vivaldi, de Mozart mais aussi des œuvres issues de negro-spiritual. Un duo en parfaite intelligence qui a su mettre son talent au service du sacré sous des apparences toujours nouvelles et qui a emporté un auditoire venu en nombre dans une symphonie musicale très haute en couleur.

F. P.

JOURNAL DNA du 25/11/2012

Musique Citharistes de Mulhouse - Mulhouse Cordes de plénitude

Les musiciens ont présenté un programme alléchant et éclectique pour leur concert vespéral qui s’est déroulé, récemment, à l’église luthérienne de Mulhouse. [...]

La mezzo-soprano, Caroline Fest, a maîtrisé sa voix pour le bonheur du public dans le merveilleux chant d’ E te fa tu e et dans l’incontournable composition de Midler, The rose.

 

JOURNAL ALSACE du 26/03/2013

Caroline Fest est cantatrice. Joachim Baumann est pianiste et organiste. Les deux artistes ont uni leurs talents à l’église de Morschwiller-le-Bas. Pour débuter, Caroline Fest s’est attaquée au fameux Nisi Dominus de Vivaldi. Ce compositeur convient parfaitement à la voix de mezzo soprano de la cantatrice. Vivaldi met beaucoup de colorations et Caroline les rend à merveille. La voix est d’une grande luminosité, ni vibratos, ni trémolos, mais un son volumineux d’une extrême pureté. Le morceau comporte une huitaine de versets, allant de l’allegro vers l’andante et l’allegro molto du Surgite. À l’orgue, Joachim l’accompagne à la perfection, faisant surtout ressortir le cornet. De Mozart, la cantatrice a donné un extrait d’une messe. On a l’impression d’entendre la Koloratur de la reine de la nuit de la Flûte enchantée. De Bach on a entendu une partie du Magnificat et un chant du petit livre à sa femme et entre les deux airs, deux chants de Mendelssohn.

L’organiste a joué des variations sur un chant d’église bien connu avant que le programme ne se termine avec des airs tirés d’opéras de Vivaldi. Le public était ravi.

M.M.

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